Les chroniques ahurissantes mais véridiques de ma 205.
Je me décide donc à écrire ces chroniques avec pour principale raison qu’il y a maintenant prescription (plus de 10ans), et que donc, avec le recul, j’arrive enfin à trouver ça très drôle. Mais à l’époque, il faut bien le reconnaitre, c’était juste l’angoisse totale (mes nuits étaient hantées de cauchemars mécaniques) !
Ça rappellera sans doute quelques souvenirs à certains, et, je tiens à m’excuser encore auprès de ceux qui se serait vu mourir dans cette voiture (c’est la moindre des choses), bien que de manière générale, j’étais souvent totalement seule et perdue dans ma petite Peugeot XAD blanche de seconde main (130 000km au compteur/330 000 et des histoires à revendre à l’arrivée) à vivre des situations plus hallucinantes les unes que les autres.
Je dédie ces chroniques à mon père, pour le temps qu'il a passé, penché sur le moteur de cette 205 maudite, à se demander sans doute quelle panne j'allais encore inventer...Je suis trop forte en pannes, moi (il faut bien être fort quelque part).
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- Ou j’ai froissé ma première tôle: même pas mal (mais ça fait peur quand-même).
- Ou j'effectue quelques glissades impromptues.
- Ou je me prends des graviers (un gros tas même) et manque le virage.
- Ou l' on répare encore et encore...et comment se taper la honte (une fois de plus).
- Ou comment s’embourber de nuit dans un chemin sombre (ça fait envie, hein ?).
- Ou comment se reprendre le poteau.
- Ou comment se faire le coup de la panne …dans le tunnel de Fourvière !!!