chroniques (en)caustiques

chroniques (en)caustiques

- L'INTEGRALE (suite et fin).

 

 

- Ou comment s’embourber de nuit dans un chemin sombre (ça fait rêver, hein ?).

 

Ce matin là, je sors ma voiture de son abri et explose bêtement le rétroviseur de gauche sur le poteau du milieu (de l'abri, donc).

On me conseille d'aller en changer rapidement (difficile de conduire sans), à une casse pas trop loin de mon lieu de travail. Bonne idée (dans l'absolu…)

Le soir venu, il fait déjà presque nuit, je m'engage sur un sentier qui indique la casse un peu plus loin. Au début, c'est plutôt bucolique: des petits lapins sortent de tous côtés, le paysage est champêtremais il a beaucoup plu et ce n'est pas goudronné.

La casse apparait enfin: il y a un grillage fermé. Comme il n'est pas tout à fait 18 heures, je me dis qu'il doit y avoir une autre entrée un peu plus loin. Je continue donc.

C'est de pire en pire coté flaques d'eau et je n'arrive pas à faire demi-tour (ce n'est pas éclairé du tout, c'est étroit et chaotique: la marche arrière est délicate). La casse est maintenant dépassée (il n'y a pas d'entrée dérobée), et je ne sais plus trop que faire, quand soudain, je sens que ça dégénère:

La voiture dérape un peu, patine…et...s'embourbe définitivement.

Chouette (c'est nouveau comme problème: ça me change des durites).

Il n'y a absolument personne.

Il fait maintenant totalement nuit et j'ai pas mal roulé.

Re-chouette.

Heureusement, j'ai une lampe de poche dans la boite à gants.

Je mets donc les warning au cas où un autre idiot s'aventurerait comme moi sur ce sentier, et repart à pied dans l'autre sens, vers la civilisation.

Ma lampe de poche s'éteint au bout de quelques mètres. C'est ballot ça.

Le clair de lune est là, et les lumières de la ville ne sont pas trop loin (enfin, j'espère).

Je fini par déboucher sur un rond-point et trouve un café (à camionneurs) juste en face.

J'explique brièvement ma situation le temps de demander un téléphone (avoir un portable, à l'époque, m'aurait sans doute évité quelques désagréments supplémentaires). Entendant l'histoire, un des camionneurs me propose de l'aide. Je me projette rapidement dans le futur, m'imaginant au fin fond d'un chemin boueux, dans la nuit noire, en seule compagnie d'un camionneur Je refuse fermement la proposition: "Vous savez quoi, je vais appeler mon père. Je préfère. Si, si, vraiment… " Et puis, il commence à avoir l'habitude (mon père).

Mon coup de fil l'a tout de même surpris (la situation peut-être, ou l'accumulation de bourdes aussi).

Par chance, mon frère est là aussi et nous avons un petit 4/4 (ça ressemble plus à une familiale, mais bon) miraculeusement équipé d'un treuil.

Quand je suis née, et me voyant grandir, mon père a du se dire qu'un treuil, un jour, serait sans doute nécessaire: bingo !

Nous voilà reparti tous les trois sur mon obscur sentier.

La 205 clignote tel un ovni au milieu de rien.

On commence les travaux: creuser, poser des planches, tirer, déraper… Non seulement rien n'y fait, mais en plus, mon père commence à s'angoisser grave: si ça continu, ce sont les deux voitures qui seront embourbées !!!

Il propose d'aller chercher de l'aide auprès des fermiers du coin (zont des tracteurs, eux).

Mais quels fermiers ? J'ai vu personne moi, Et vous avez vu l'heure ?

Mon frère s'étant sans doute fait les même réflexions intérieures angoissantes, se remet à pelleter de plus belle. On doit mon retour à ce surcroit d'énergie, vous savez, celle du désespoir !

 

Je ne sais pas si vous avez déjà roulé, sur autoroute, avec une voiture qui sort de la boue ? Ce n'est pas ce qui est le plus simple: ça dérape, ça roule tout doucement et ça gicle pendant des kilomètres partout à la ronde !

M'en fou: JE SUIS SORTIE DU TROU !

 

 

 

 

 

- Ou comment se reprendre le poteau.

 

L’abri, pour ma 205 est un peu étroit.

J’avais déjà malencontreusement explosé mon rétro sur le poteau en ferraille du milieu (celui qui soutient le tout), m’exposant à une suite d’aventures farfelues, quand je décide, quelques mois plus tard, d’effectuer quelques manœuvres afin de pouvoir ouvrir ma portière placée trop près dudit poteau. Manœuvres malencontreuses elles aussi (on s’en doutait): la voiture est maintenant totalement collée au poteau.

Tiens, si j’appelais mon père. Ca tombe bien, pour une fois, je suis chez moi: j’économise un coup de fil !

 

On étudie la situation. Il est tard (dans les 23 heures).

Il essaie de manœuvrer à son tour: oui mais non. Rien n'y fait.

On cherche un plan B: déboulonner le poteau !

En fait, ça ne va pas être trop possible: il est cimenté au sol, et puis, tout de même, c'est lui qui tient tout.
Plan C: emprunter une girafe ! Non, pas le gentil animal qui serait bien en peine avec ma 205 et ses problèmes débiles, mais une girafe de garage.

Ça tombe bien, on en a une à coté (ça c’est vrai que ça tombe bien: ce n’est pas tout le monde qui a ça à porté de main à 23 heure du soir).

Ainsi donc, on l’a soulevée, et déplacée, centimètre par centimètre…et ça a marché !!!

J’ai dorénavant une maxi éraflure vert sapin sur ma carrosserie…

...JE NE SUIS PLUS A ÇA PRES...

 

 

 

 

 

- Ou comment se faire le coup de la panne …dans le tunnel de Fourvière !!!

 

Je dois partir en ville, mais, ayant constaté que quelque chose ne tourne pas bien rond en ce moment lorsque je conduis, nous tripotons un peu tout dans le moteur avant de partir, et nous nous rendons compte qu’il y a comme un "petit" problème de batterie.

Qu’à cela ne tienne: on sort les câbles, on la recharge (elle n’est logiquement pas à changer) et je pars sur la route du bonheur.

Bonheur de courte durée: assez vite, je me rends compte qu’il y a deux trois trucs qui ne fonctionnent pas tout à fait normalement. J’éteins alors mon autoradio (m’a déjà assez causer de tord celui-là), tous sens à l’affut.

 

Je m'engage sous le tunnel de Fourvière et allume donc mes feux.

Erreur fatale !

La batterie se vide, petit à petit : JE SUIS PLANTEE AU MILIEU DU TUNNEL ET JE NE PEUX MEME PAS METTRE MES WARNINGS !!!!!!! (ça mérite bien des majuscules, ça).

Là, je commence franchement à baliser (oui, plus que pendant mon tête à queue).

Tout le monde me klaxonne: "Tes warnings, connasse !"…voudrais bien, moi...et puis restez polis, quoi...
Je calcul, mais alors très vite, s’il vaut mieux que je reste à l’intérieur du véhicule ou que je l’abandonne et m’éjecte vite et bien: je choisi forcément la deuxième proposition.

 

Mission 1: rester en vie.

Mission 2: ne pas provoquer d'accidents.

Mission 3 (en option): sauver la voiture.

 

Aussitôt sur le bas coté, je jette un dernier regard à ma voiture (sera peut-être défoncée d’ici peu) et cherche un téléphone de secours.

Quand arrive, sur son gris destrier, LE camionneur sympa: alors, celui-là, je lui dois une fière chandelle !

Comprenant rapidement le problème, il arrête son gros véhicule bien voyant derrière ma ridicule 205 et met ses warnings à lui. Ha ben ça, c’est sympa !!!

En vérité, je ne me souviens même plus comment les choses se sont trop enchainées, mais quoi qu’il en soit, un moment plus tard, un autre véhicule (petit), c’est arrêté, et nous avons réussi à recharger la batterie (j’avais gardé les pinces: intuition féminine...et/ou réflexe de survie...), en collant nos deux véhicules l’un contre l’autre, devant le camion qui nous servait d’abri, au beau milieu du tunnel, tout en laissant la voie de gauche à la circulation !!!

…ferais pas ça tous les jours !

 

En tout cas, le deuxième gars qui s’est arrêté a eut du courage (ou bien il était totalement inconscient, au choix).

Il n’empêche que j’ai pu repartir.

Forcément, je n’avais plus aucune envie d’aller bien loin, juste celle de changer définitivement de batterie (j'aurais bien changé de voiture, aussi,  mais bon...). Suis retournée chez moi, sans allumer ni la radio, ni le moindre feu, et en priant (psalmodiant est le terme exacte) comme jamais:

LES PROBLEMES MECANIQUES SONT D'EXCELLENTS STIMULATEURS DE FOI.

 

 

 

 

 

- Je suis crevée.

 

 C'est indéniable, je ne suis pas une bonne conductrice, en tout cas, je ne l'étais pas à cette époque là: aujourd'hui, suite à ces "quelques" expériences , j'ai plein de bons réflexes.

 

Cependant, je dois ajouter que j'ai également à mon actif un facteur chance assez déplorable: j'ai réussi, par exemple, à crever tout de même 6 fois depuis mon permis, dont 4 fois avec la 205 !

Moi je trouve que c'est plutôt un bon score.

 

Ce qui eut pour effet à l'époque, en plus de me trimballer des litres d'eau, des tournevis, une lampe de poche (avec de nouvelles piles !), et des vivres (on n'est jamais assez prudent), de rajouter à ma panoplie une vieille paire de basket !

Et oui, essayez, vous, de changer une roue en mini jupe et talons hauts sous la pluie: non seulement personne ne s'arrête (ben oui, il pleut), mais même si vous connaissez parfaitement la technique, en talons hauts, pour donner de grands coups de pied dans la clef pour serrer ou desserrer les boulons (c'est ma technique à moi), ça n'a rien de simple...en plus du fait que ça vous bousille vos jolies chaussures !...

 

 Autres exemples liés au facteur "pas d'chance": je me suis également fais emboutir trois fois sans que cela ne soit de ma faute (que ceux qui voudraient exprimer des doutes le fassent vite ou se taisent à jamais).

 Quoi, les femmes au volant ? Ha, les préjugés, je vous jure (comment ça, j’aurais contribué à la légende ?)...Tiens, d'ailleurs, ce sont des hommes qui me sont rentré dedans...

 

 

 

 

 

- Bonus.

 

Que vous dire de plus ?

En vérité, je suis quasiment sûr d'oublier des tas d'autres pannes plus pourries les unes que les autres.

Par exemple, un 14 Juillet, alors que j'étais avec des amis et que je leur racontais justement ce qui m'étais, parfois, arrivé à ma 205 et moi, plus personne, bizarrement, ne veut m'accompagner en voiture au feu d'artifice. J'y vais donc seule. Croyez-le ou pas, au retour, en plein bouchons en ville, je tombe en panne ! Une histoire de ventilateur je crois. Je vous passe les détails.

Six mois plus tard, sous la neige, rebelote: j'ai juste le temps d'arriver sur mon lieu de travail, de le dépasser (trop de bruits troublants dans le moteur) et de poser mon véhicule vingt mètres avant le garage qui l'avoisine (judicieux pour eux, pratique pour moi !). Je pousse donc la voiture jusqu'au parking (elle y restera une bonne grosse semaine la garce), repart à pied dans l'autre sens, et croise, toujours sur la route enneigée, une autre voiture en panne, deux cent mètres trop tôt celle-là. Je me propose donc, malgré la négation polie des deux occupants, d'aider à pousser: « Non, franchement, je ne suis plus à ça près vous savez, je sais ce que c'est ! »

 

 Ha oui, tiens, j'oubliais une panne rigolote (enfin, si on veut, car sur la route c'est carrément problématique quand on double un camion qui nous serre par exemple): la panne de klaxonne !

Si c'est possible.

C'était d'ailleurs un problème récurrent sur les 205.

On a fini par comprendre pourquoi, à force de chercher frénétiquement et très longuement où ils avaient bien pu le planquer, le pénible: au plus bas sous la carrosserie, au niveau des roues et du bitume ! Deux ans plus tard: re-panne !...mais on savait où il était: on a gagné du temps !

 

Dernière anecdote croustillante : celle déjà racontée en 2003.

En résumée, et pour ce qui nous préoccupe (ma santé mentale et ma 205):

Donc, je vous raconterais plutôt une autre rentrée: celle ou j'étais parti en vacances un bon mois, en août, en laissant ma 205 à l'ombre d'un arbre.

En fait d'arbre, c'était un prunier géant dont les prunes violettes sont venues s'écraser en gros tas gluant sur le toit et tout le coté droit de la voiture; en macérant pendant tout un mois ! Sympa les odeurs  !!!! Un délicat mélange de fermentation alcoolisée et de moisi...

Le résultat, c'est qu'en allant au boulot, certains de mes collègues ont cru que que la voiture avait brûlée !!! La carrosserie blanche n'était plus, dirons-nous, très proprette (en plus de l'odeur, donc) elle avait virée au marron et avec ma portière cabossée, ils ont cru que j'avais fait un tonneau et qu'une partie avait cramé  (non mais où vont-ils chercher tout ça?...oui, ok, les têtes à queue, aquaplaning, embourbement...ça se tient) !

Le soir, je l'ai passée trois fois sous les rouleaux, ça n'a quasiment rien fait. Le gars de la laverie n'avait jamais vu ça: il m'a donc offert une fin de bidon spécial décapant-extrême pour frotter la carrosserie avec mes petits bras musclés et mes talons hauts (pour atteindre le milieu du toit). C'est « presque » tout parti: les auréoles, c'est joli aussi.

Ça, c'était une rentrée facétieuse. Mais si.

 

 

 

 

 

- Surprise !...ou comment voler la 205 des autres.

 

Un jour, j’ai réussi à ouvrir et monter dans une 205 qui n’était pas la mienne (oui, je sais, j'aurais du en profiter pour échanger...) !

 

Peu de temps auparavant, je m’étais fait fracturer la voiture (je vous l’avais dit, je n’ai pas que de la chance), et piquer mon autoradio.

J’avais donc du changer la serrure coté conducteur (en plus de la vitre).

Et c’est avec cette nouvelle clef, qu’un beau jour, je me dirige vers une 205 garée juste à coté de la mienne sur un parking, avec, plus ou moins (on n’est pas à un détail près), les même vicissitudes coté carrosseries. Je me dis qu’il y a bizarrement une grande antenne sur le toit (n’avais jamais remarqué avant).

- Petit 1: les antennes poussent sous la pluie.

- Petit 2 : mon frère à bricolé une antenne de CB.

J’opte pour le petit 2, ouvre la portière avec ma nouvelle clef, monte dedans, et me dit encore une fois que décidément, il y a un problème: ce n’est pas la mienne !!!

Effectivement !

 

Je suis remonté dans ma 205 à moi (garée à côté): que voulez-vous, on s’attache.

 

 

 

 

- Ou comment tout fini.

 

J’ai revendu ma 205.

Et oui, même les mauvaises choses ont une fin...tout de même...

Et je l’ai même pas mal revendue...vu son état…je ne trouve pas de mots…

 

 - Portière de droite méchamment emboutie (la photo en haut des chroniques), l'histoire n'a que peu d'intérêts (pour résumer: me suis pris une grosse borne en béton en manoeuvrant au moment où je me rendais compte que j'avais un PV sur le pare-brise...sans commentaires...).

- Fenêtre de droite (suite au problème de portière) qui ne descend plus.

- Déco peinture, fait maison: permet de masquer la tôle froissée (mais si !).

 - Le conducteur doit monter côté passager (serrure déjà remplacée une fois, pour ne pas la rechanger, je passais par l'autre coté).

- Rétro intérieur qui me tombe régulièrement dessus.

- Bruit d'oiseau quand je tourne à gauche (les cardans).

- Autoradio volé. Pour le remplacer, j'ai bidouillé un branchement douteux avec un walkman, un allume cigare, et les enceintes de l'auto (le son s'arrêtait quand on passait une bosse, mais bon, dans l'ensemble, ça fonctionnait)...

 

A l’époque, je l’ai revendue 3000 francs, pour 330 000 km (j'aime bien le chiffre 3), à quelqu’un de bricoleur (c’est un minimum), que je connaissais (il savait à quoi s’en tenir).

Il lui a mit des vitres électriques, a changé ce qu’il faut de carrosserie…et l’a revendue !...je préfère même pas savoir à qui !

 

Et depuis que je ne fais plus 80 bornes par jours et que je ne roule plus en voiture d’occasion, étonnement, il ne m’arrive presque plus rien.

 

C’EST SANS DOUTE POUR ÇA QUE J'AI FAIS DES ENFANTS !!!

 

 

 

 

 

- Recyclage de chronique et citations.

 

Voici également un extrais de chronique, écrite le 10-03-03, prouvant qu'on peut aussi tomber en panne en Clio (rien ne s'y oppose). C'est effectivement moins impressionnant qu'en 205, mais ça m'a laissée tout de même longtemps perplexe...

 

...Et pourtant, Dieu sait si j'avais mis la barre haut en matière de pannes et petits "soucis" automobiles.

Pour mémoire, j'ai quand même réussi à avoir un accident de voiture chez le garagiste, qui lui-même, en a réchappé de justesse !!!...Et je me rends compte à quel point, cette phrase résume un peu tout ce que je viens d'écrire !

 

Ainsi donc, j'ai testé pour vous une panne automobile ma foi fort originale: j'ai réussi à tomber en panne des phares, les deux, à l'avant !...

Voyais plus rien. Ai cru bêtement que je ne savais plus les allumer, du coup, suis passée à mes propres yeux pour une crétine, le temps de comprendre le problème.

A force de moult périples (genre, rouler de nuit sur une route de campagne aux warnings: t'y vois/t'y vois plus/t'y vois/t'y vois plus), j'ai réussi à trouver deux ampoules dans un garage où je n'ai blessé personne cette fois-ci (bien qu'ils l'auraient mérité vu le prix des ampoules !)

Par contre, j'en ai profité pour poser un bon tas de questions à propos du voyant électronique qui s'allume tout le temps (la voiture est presque neuve): ils n'ont rien trouvé à me dire.

C'est dommage car personnellement, et vu mon passif, JE N'AIME PAS LES VOYANTS QUI S'ALLUMENT TOUT LE TEMPS ! J'ai eu mon quota, il faut que ça s'arrête maintenant.

 

 

 

Tenez, pour finir, j'ai trouvé deux/trois citations qui feront bien l'affaire:

 

 "Il en est des défauts comme des phares des automobiles : seul ceux des autres nous aveuglent."  Maurice Druon.

 

"Le chauffeur est, de loin, la partie la plus dangereuse de l'automobile"

Léo Campion.  Celle-là, je me l'auto dédie, tiens.

 

"J'ai longtemps rêvé d'une automobile qui démarrerait sans clé. Il suffirait de crier: moteur!" Citation d'un acteur...j'ai oublié qui.

 

 

 

 

 

 

 

 



20/05/2010
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